Créer un plan de taggage pour votre app mobile : la méthode simple pour ne rien oublier

Créer un plan de taggage pour votre app mobile : la méthode simple pour ne rien oublier

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Le tracking mobile est souvent traité comme un détail technique. On intègre un SDK, on déclenche quelques événements, on se dit “ça fera l’affaire”. Mais six mois plus tard, personne ne sait vraiment ce qui est tracké, pourquoi, ni comment l’utiliser. Le dashboard Firebase est un champ de bataille, Mixpanel affiche des événements aux noms étranges, et personne ne comprend pourquoi on a trois fois plus de purchase_completed que d’achats réels.

Le problème ? Ce n’est pas le SDK. Ce n’est pas l’outil. C’est l’absence de plan de taggage structuré, partagé et maintenu dans le temps.

Un plan de taggage (ou “tracking plan” en anglais) est un document de référence qui décrit :

  • Quels événements sont trackés

  • Pourquoi ils existent

  • À quel moment ils sont déclenchés

  • Quels paramètres ils contiennent

  • Dans quel outil ils sont envoyés

C’est la base de toute stratégie data fiable. Sans lui, impossible de mesurer une conversion avec certitude, d’optimiser un funnel, de détecter une baisse de rétention, ou de faire un A/B test exploitable.

Dans cet article, je vais te montrer comment construire un plan de taggage solide, simple et scalable, en 5 étapes claires. Que tu sois PM, dev, marketer ou fondateur, tu pourras :

  • Aligner toute ton équipe sur une structure commune

  • Éviter les erreurs classiques (événements inutiles, doublons, trous de données…)

  • Construire un socle de tracking prêt à évoluer

🎯 Objectif : que chaque événement envoyé par ton app serve une décision concrète — et que tu puisses t’y retrouver dans 6 mois, sans tout redocumenter.

Étape 1 : Définir les objectifs du tracking

Un bon plan de taggage ne commence pas par des lignes de code. Il commence par une question simple, mais trop souvent négligée :

Pourquoi voulez-vous tracker vos utilisateurs ?

Avant de lister des événements, vous devez définir ce que vous voulez comprendre, améliorer ou mesurer. Sans objectif clair, vous finirez avec un tracking inutile, coûteux, et souvent… inexploité.


🎯 Identifier les objectifs produit, business ou marketing

Votre tracking doit servir une intention métier. Demandez-vous :

  • Que cherchez-vous à améliorer ?

  • Qu’est-ce que vous ne comprenez pas aujourd’hui ?

  • Quels indicateurs vous aident à prendre des décisions concrètes ?

Voici quelques objectifs classiques :

  • Comprendre l’activation : combien d’utilisateurs créent un compte et vont jusqu’à une première action utile ? (ex : ajout au panier, premier message envoyé)

  • Analyser la rétention : reviennent-ils au bout de 7 jours ? Utilisent-ils bien la fonctionnalité phare ?

  • Optimiser l’onboarding : à quelle étape les utilisateurs décrochent-ils ? Faut-il raccourcir le flow ?

  • Mesurer l’efficacité marketing : quelle source d’acquisition génère le plus d’achats ? De churn ?

  • Suivre la monétisation : combien d’utilisateurs payants ? Quelle LTV ? Quel taux de conversion par plan ?

🎯 L’objectif ici est de faire la liste des questions clés auxquelles vous voulez répondre avec la data. Cela guidera toute la suite du plan.


📏 Définir les métriques qui comptent (et celles qu’on peut ignorer)

Une erreur fréquente : vouloir “tout tracker”. Mais un bon tracking n’est pas un tracking exhaustif. C’est un tracking pertinent. Vous devez vous concentrer sur les métriques qui servent réellement vos décisions.

Quelques questions à se poser :

  • Quelles sont les 3 à 5 métriques que vous regardez chaque semaine ?

  • Quelles sont les métriques utilisées dans vos dashboards, vos reporting, vos OKRs ?

  • À l’inverse, quels KPIs sont jolis sur le papier, mais jamais utilisés ?

💡 Exemples de métriques utiles :

  • Taux de conversion signupfirst_value_action

  • Temps moyen entre install et purchase

  • Répartition par canal d’acquisition

  • Funnel onboarding_startedonboarding_skippedactivation

Et à l’inverse, attention aux faux indicateurs :

  • button_clicked sans contexte

  • Temps passé dans l’app sans lien avec la valeur créée

  • Scroll tracking sans but précis

🎯 Résultat attendu : une shortlist de 5 à 10 questions métiers, traduisibles ensuite en événements concrets.

Étape 2 : Identifier les parcours utilisateurs clés

Une fois les objectifs clarifiés, l’étape suivante consiste à cartographier les vrais parcours utilisateurs dans votre app. Pourquoi ? Parce que vos utilisateurs ne vivent pas dans des dashboards. Ils utilisent votre app dans un enchaînement d’étapes, souvent non linéaire, avec des intentions, des hésitations, des retours en arrière.

Le rôle d’un bon tracking est de traduire ces parcours réels en événements observables et exploitables. Et pour ça, il faut commencer par bien les identifier.


🗺️ Cartographier les moments clés de l’expérience utilisateur

Commencez par répondre à cette question :

Quelles sont les étapes stratégiques dans l’expérience d’un utilisateur chez vous ?

Les plus fréquentes sont :

  • L’inscription (signup) : première barrière. Savoir comment, quand, et par quel canal les utilisateurs créent un compte.

  • L’onboarding : phase critique. Quelles étapes doivent être franchies pour que l’utilisateur comprenne la valeur de l’app ?

  • L’activation : ce moment où un utilisateur réalise une action qui prouve qu’il a compris l’intérêt de l’app. Exemple : “envoyer un message” pour une messagerie, “ajouter un article au panier” pour un e-commerce.

  • La conversion : achat, abonnement, réservation, etc.

  • La rétention : ouverture récurrente, utilisation d’une fonctionnalité clé, retour sur l’app après une pause.

  • Le referral : partage à un ami, code parrain, avis.

  • Le churn : désabonnement, inactivité prolongée, suppression du compte.

💡 Conseil : tracez ces parcours comme des user stories, avec des post-its ou un diagramme simple. Puis associez à chaque étape un ou deux événements clés à tracker.


🎯 Associer chaque étape à un événement (ou une série)

Une fois les parcours mappés, associez à chaque moment stratégique un ou plusieurs événements. L’idée n’est pas de tout capturer, mais de couvrir les points de bascule : ceux où l’utilisateur passe (ou non) à l’étape suivante.

Exemple – Parcours d’achat :

  • signup_completed → utilisateur inscrit

  • product_viewed → intention potentielle

  • add_to_cart → engagement commercial

  • checkout_started → étape sensible (peut être abandonnée)

  • purchase_completed → conversion validée

Pour chaque événement, précisez :

  • Le déclencheur exact (ex : clic sur un bouton, réponse API OK…)

  • Les paramètres utiles (montant, device, canal d’acquisition…)

  • Les cas limites à éviter (ex : ne pas le déclencher deux fois)

🎯 Objectif de cette étape : que chaque utilisateur réel puisse être "rejoué" dans les outils analytics grâce à une série d’événements fidèles à sa réalité.

Étape 3 : Choisir une nomenclature cohérente et scalable

Un bon plan de taggage, ce n’est pas seulement ce qu’on tracke, mais comment on le nomme. Une nomenclature bien pensée, c’est ce qui permet à toutes les équipes — produit, tech, marketing, data — de parler la même langue. À l’inverse, une convention mal définie (ou pire : inexistante) mène à un enfer analytique : événements doublonnés, confus, impossibles à maintenir ou à exploiter dans le temps.

Voici comment définir une nomenclature solide pour vos événements et leurs paramètres.


🔤 1. Choisir une convention de nommage unifiée

L’important n’est pas tant la syntaxe que la cohérence dans le temps. Vous devez choisir un format unique et vous y tenir sur tous les événements. Voici les options les plus courantes :

  • snake_case (ex : signup_completed) → recommandé (lisible, clair)

  • camelCase (ex : signupCompleted) → courant, mais plus utilisé côté code

  • kebab-case (ex : signup-completed) → à éviter dans certains outils (ex : Firebase n’aime pas les tirets)

✅ Mon conseil : optez pour snake_case, utilisé dans la majorité des outils analytics modernes, lisible pour les non-techs, et compatible avec les exports CSV ou BigQuery.


🧠 2. Structurer les noms d’événements autour de l’intention

Les bons noms d’événements décrivent l’action et le contexte, avec une structure simple comme :
[verbe]_[complément]

Exemples :

  • signup_started, signup_completed

  • product_viewed, add_to_cart

  • checkout_started, checkout_abandoned, purchase_completed

  • onboarding_skipped, plan_selected, payment_failed

💡 Astuce : si vous avez des événements comme event1, track1, ou button_clicked, vous êtes en danger.

Les événements doivent parler d’eux-mêmes, sans besoin de lire le code ou le commentaire.


📦 3. Standardiser les paramètres (et en limiter le volume)

Chaque événement peut contenir des paramètres contextuels, qui donnent de la valeur à l’analyse. Mais attention : trop de paramètres tuent les paramètres. Visez la pertinence, pas l’exhaustivité.

Voici les paramètres standard à intégrer dans votre convention :

  • revenue : montant (en float), à toujours associer à une devise

  • currency : "EUR", "USD", etc.

  • user_id, session_id, device_id

  • utm_source, utm_medium, utm_campaign (si vous gérez l’attribution)

  • product_id, plan_type, payment_method, etc.

✅ Conseil : créez une liste blanche de paramètres autorisés, avec nom, type, exemple de valeur, et usage métier.

🎯 Objectif de cette étape : que tous les noms soient lisibles, explicites, unifiés, et documentés, pour éviter le chaos dès qu’une nouvelle fonctionnalité ou un nouvel outil est intégré.

Étape 4 : Documenter les événements dans un plan de taggage clair

Une fois que vous avez défini vos parcours, vos événements et votre nomenclature, il est temps de formaliser tout ça dans un document structuré. Le plan de taggage ne doit pas rester dans la tête d’un développeur ou d’un product manager : il doit être écrit, partagé, versionné, et accessible à tous.

Un bon plan de taggage est comme une source de vérité : il sert à l’implémentation, aux tests QA, à l’analyse des données et même à l’onboarding de nouveaux membres dans l’équipe. Voici comment le construire.


📑 1. Choisir le bon support de documentation

Inutile de réinventer la roue. La majorité des équipes utilisent :

  • Un Google Sheets partagé : simple, efficace, collaboratif

  • Notion : excellent pour structurer et relier les pages (ex : un event = une sous-page)

  • Confluence / Coda / Airtable : si vous avez déjà ces outils

💡 Ce qui compte : la clarté, la facilité de lecture, et la capacité à faire des recherches rapides.


🧱 2. Structurer le tableau avec les bonnes colonnes

Voici la structure minimale recommandée pour votre plan de taggage :

Colonne

Rôle

event_name

Nom exact de l’événement (ex : signup_completed)

description

À quoi correspond cet événement ? Que mesure-t-il exactement ?

déclencheur

Quelle action dans l’app déclenche l’événement (clic, API success…)

plateforme

iOS, Android, Web, All

paramètres

Liste des paramètres envoyés (nom, type, exemple)

outil

Firebase, Mixpanel, Amplitude, Adjust, etc.

responsable

PM, dev ou analyst en charge du suivi / QA

date de création

Pour suivre l’évolution dans le temps

➡️ Ce tableau devient votre feuille de route pour toute nouvelle release. Il permet de prioriser les nouveaux events, de repérer les incohérences et de tester rapidement ce qui a été mis en place.


🤝 3. Partager avec toutes les équipes concernées

Un plan de taggage ne sert à rien s’il reste confiné à l’équipe produit. Il doit être connu, compris et utilisé par :

  • Les développeurs : pour implémenter précisément les bons events

  • Les marketers / growth : pour construire des segments, des audiences, des triggers

  • Les data analysts : pour croiser les events avec les bases métier

  • Le support / CS : pour comprendre certains comportements utilisateur

💡 Conseil : ajoutez un lien vers le plan de taggage dans chaque ticket de fonctionnalité et dans vos templates de spec produit.

🎯 Résultat : une culture produit + data solide, où chaque équipe sait exactement ce qui est tracké, pourquoi, comment, et où.

Étape 5 : Valider et maintenir le plan de taggage

Avoir un beau fichier de tracking, c’est bien. Mais ce n’est que le début. Le vrai défi, c’est de s’assurer que ce plan est bien :

  • mis en œuvre côté technique,

  • suivi dans le temps,

  • adapté à l’évolution du produit.

Un plan de taggage n’est pas un document figé : c’est un artefact vivant, qui évolue avec les fonctionnalités, les priorités business, et vos outils analytics. Voici comment le valider et le maintenir de manière durable.


✅ 1. Valider techniquement chaque événement

Chaque ligne de votre plan de taggage doit faire l’objet d’un test de validation après mise en production ou release.

Checklist :

  • L’événement est bien déclenché au bon moment

  • Il remonte dans les outils analytics (Firebase, Mixpanel, etc.)

  • Les paramètres sont bien transmis (type, valeur, nommage)

  • Il n’est pas doublé ou déclenché de manière intempestive

  • Il ne contient aucune donnée personnelle non anonymisée

💡 Méthodes recommandées :

  • Utiliser les vues en temps réel des outils analytics

  • Analyser les requêtes via un proxy réseau (Charles Proxy, Proxyman)

  • Créer des comptes de test avec des identifiants explicites (user_test_tagging_0425)

  • Documenter les tests passés/échoués dans le plan de taggage

🎯 Objectif : valider chaque événement comme on valide une fonctionnalité produit, avec autant de rigueur.


♻️ 2. Mettre à jour le plan à chaque release ou sprint

Un bon plan de taggage est versionné, comme du code.

À chaque nouvelle fonctionnalité :

  • Une nouvelle ligne est ajoutée au plan

  • L’événement est discuté dès la rédaction du ticket / user story

  • Les paramètres à tracker sont décidés en amont (pas “on verra plus tard”)

  • La QA produit valide l’intégration tracking en plus des tests fonctionnels

💡 Astuce : ajoutez un champ “Tracking à prévoir ?” dans vos tickets Jira ou Notion. Cela force à anticiper.


👥 3. Désigner un “event gatekeeper”

Pour éviter la dérive, il est très utile de nommer un(e) responsable tracking. Cette personne :

  • Vérifie la cohérence des noms d’événements

  • Fait le lien entre produit, dev et data

  • Valide la structure des événements et des paramètres

  • Garantit que le plan de taggage reste propre, à jour, et partagé

💡 Ce rôle peut être tenu par un PM, un analytics engineer ou un développeur avec une forte sensibilité data.

🎯 Sans responsable clair, les événements finissent par se multiplier anarchiquement, et le plan devient obsolète.

Conclusion : un plan de taggage, c’est la base d’un produit piloté par la data

Un bon produit ne se construit pas à l’instinct. Il se construit avec des décisions éclairées par des données fiables. Et pour avoir des données fiables, il faut un plan de taggage clair, structuré, maintenu.

Trop d’équipes se contentent de “tracker quelques events”, sans stratégie, sans nomenclature, sans documentation. Résultat :

  • Des dashboards inexploités

  • Des bugs de tracking non détectés

  • Des événements doublés ou déclenchés trop tôt

  • Et des décisions basées sur du vent

En suivant les 5 étapes de cet article, vous avez maintenant une méthode simple et concrète pour :

  • Aligner vos équipes produit, tech et data

  • Construire un tracking utile (et pas juste “présent”)

  • Assurer la scalabilité de votre app et de vos analytics


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Questions fréquemment posées sur le sujet

Un plan de taggage est un document de référence qui décrit quels événements sont trackés, pourquoi ils existent, à quel moment ils sont déclenchés, quels paramètres ils contiennent et dans quel outil ils sont envoyés. C'est la base de toute stratégie data fiable.

Sans plan de taggage structuré, il est difficile de mesurer une conversion avec certitude, d'optimiser un funnel, de détecter une baisse de rétention ou de faire un A/B test exploitable. Un plan structuré permet d'aligner toute l'équipe sur une structure commune et d'éviter les erreurs classiques.

Les étapes incluent : définir les objectifs du tracking, identifier les événements clés à suivre, documenter chaque événement avec ses paramètres, valider le plan avec les parties prenantes et maintenir le plan à jour au fil du temps.

Il faut se poser des questions telles que : Que cherchez-vous à améliorer ? Qu'est-ce que vous ne comprenez pas aujourd'hui ? Quels indicateurs vous aident à prendre des décisions concrètes ? Cela permet de guider toute la suite du plan.

Les événements doivent être pertinents et servir une intention métier. Par exemple : création de compte, ajout au panier, premier message envoyé, achat effectué, etc. Il est important de se concentrer sur les métriques qui servent réellement vos décisions.

Pour chaque événement, il faut spécifier : le nom de l'événement, sa description, les paramètres associés, le moment de déclenchement, l'outil de destination et toute autre information pertinente. Cela facilite la compréhension et l'implémentation par les équipes techniques.

Il est essentiel de mettre à jour le plan de taggage à chaque ajout ou modification d'événement, de le partager avec toutes les parties prenantes et de le versionner pour garder une trace des évolutions. Une maintenance régulière garantit la fiabilité des données collectées.

Des outils tels que Google Sheets, Notion ou des solutions spécialisées comme Segment permettent de créer, partager et maintenir un plan de taggage collaboratif et structuré.

Sans plan de taggage, on risque d'avoir des événements mal nommés, des doublons, des trous de données ou des événements inutiles. Un plan structuré aide à éviter ces erreurs en fournissant une référence claire pour toutes les équipes.

Un plan de taggage bien conçu permet aux équipes de prendre des décisions basées sur des données fiables, d'optimiser les parcours utilisateurs, de mesurer l'efficacité des campagnes marketing et d'améliorer l'expérience utilisateur globale.




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